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Méprise bien la raison et la science …

Les cri­tiques de la psy­cha­na­lyse ne sont assu­ré­ment pas nou­velles. Et étant don­né la durée de leur récur­rence, elles ne sont plus par­ti­cu­liè­re­ment ori­gi­nales non plus. Il faut avouer que les défenses de la psy­cha­na­lyse ne le sont pas davantage. 

Pour­tant, il y a, depuis quelques années, un élé­ment nou­veau dans ce débat deve­nu rébar­ba­tif : le recours aux légis­la­tions et par-là, le recours au champ du pouvoir. 

Depuis quelque temps donc, le débat autour de la psy­cha­na­lyse a été cap­tu­ré par la lutte poli­tique de la pro­fes­sion­na­li­sa­tion des psy­cho­thé­ra­pies. Dans ce nou­veau cadre, le débat ne recourt plus aux dis­cus­sions scien­ti­fiques habi­tuelles, si ce n’est qu’à titre de pré­texte … (Lire la suite … )

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Adorno : Bemerkungen zur ›Authoritarian Personality‹

Mit den von Eva Maria Ziege erst­mals heraus­ge­ge­be­nen „Bemer­kun­gen zu The Autho­ri­ta­rian Per­so­na­li­ty„, deren Typos­kript sich im Nachlass Max Hor­khei­mers befand, bringt der Suhr­kamp Ver­lag dieses Jahr den zwei­ten unveröf­fent­lich­ten Text von Th. W. Ador­no heraus.1 Die „Bemer­kun­gen“ waren urs­prün­glich als Kapi­tel „über die Stel­lung der Stu­die im Verhält­nis zu ande­ren Theo­rien und For­schun­gen“ der 1950 erschie­nen Stu­die The Autho­ri­ta­rian Per­so­na­li­ty gedacht.

Ador­no hatte das vor­ge­se­hene Kapi­tel in zwei große Teile geglie­dert : Es sollte sich einer­seits mit der Stel­lung der Stu­die in der dama­li­gen For­schung bes­chäf­ti­gen und ande­rer­seits auf das Verhält­nis zu ande­ren „Groß­theo­rien“ ein­ge­hen. Trotz der teil­weise vehe­men­ten Kri­ti­ken, die der Autho­ri­ta­rian Per­so­na­li­ty seit ihrer Veröf­fent­li­chung zuteil wur­den, blei­ben viele von Ador­nos Über­le­gun­gen dur­chaus frucht­bar für aktuelle Unter­su­chun­gen des Rechts­po­pu­lis­mus und des Rechtsextremismus.

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De la contestation à la révolution bourgeoise

Dans leur mani­feste du Fémi­nisme pour les 99%, C. Arruz­za, T. Bhat­ta­cha­rya et Nan­cy Fra­ser pro­posent une cri­tique impor­tante du fémi­nisme de la « deuxième vague ». Le fémi­nisme libé­ral, c’est-à-dire la variante la plus popu­laire du fémi­nisme dit de la « deuxième vague », écrivent-elles, n’est pas une solu­tion au pro­blème de l’inégalité, mais fait par­tie du pro­blème de l’inégalité.
Com­ment donc ce fémi­nisme a‑t-il fini par faire par­tie du pro­blème qu’il visait à résoudre ? Pour répondre à cette ques­tions, Arruz­za, Bhat­ta­cha­rya et Fra­ser reprennent à leur compte une cri­tique du fémi­nisme libé­ral contem­po­rain issue du fémi­nisme mar­xiste … (Lire la suite … )

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La science impérialiste

Howe­ver, typi­cal impe­ria­lists do not mere­ly esta­blish embas­sies in forei­gn coun­tries and offer advice to indi­ge­nous popu­la­tions. Dans une confé­rence de 1975, inti­tu­lée « Com­ment défendre la socié­té contre la science », Paul Feye­ra­bend pro­pose l’idée sui­vante : la science n’est pas tou­jours (Lire la suite … )