Upassung a Gehorsam (1)
De mesure en mesure, de loi en loi, tout devrait s’améliorer. Mais, l’état d’urgence viral ne s’arrête pas. Cela pourrait-il avoir un rapport avec la propagation du coronavirus ? (Lire la suite … )
De mesure en mesure, de loi en loi, tout devrait s’améliorer. Mais, l’état d’urgence viral ne s’arrête pas. Cela pourrait-il avoir un rapport avec la propagation du coronavirus ? (Lire la suite … )
La crise de la modernité est conçue comme « phénomène social total » en analogie avec le modèle médical du moment décisif où le malade survit ou succombe.
Dès le XVIIIᵉ se développent les quatre grandes conceptions de la crise à travers lesquelles nous interprétons, gérons et instrumentalisons les crises jusqu’à ce jour.
Formuler des critiques à l’endroit des politiques de santé semble devenu de plus en plus délicat. Aussi est-il devenu courant, en réaction aux remises en question de ces politiques, de voir apparaître les stéréotypes en vogue (baragouineurs, complotistes, extrémistes de droite, etc.) dans la presse ou dans les médias sociaux. (Lire la suite … )
Le début du XXIᵉ siècle a déjà entamé ou traversé un nombre étonnant de crises : une crise du terrorisme globalisé, des crises économiques, une crise écologique, des crises migratoires, des crises de la dette, et maintenant une crise sanitaire qui, probablement, ouvrira à une autre crise économique et une autre crise de la dette publique.
Toutefois l’usage inflationnaire du terme de « crise » aura également fait qu’il est difficile de savoir ce que signifie ou à quoi, plus précisément, se réfère la notion de « crise ». Une occasion, donc de reprendre le fil historique du concept de crise. (Lire la suite … )
Depuis le début de la pandémie, les discours politiques et médiatiques n’ont cessé d’affirmer que les lois et mesures anti-Covid « suivent la science ». Ainsi, la politique de santé et ce qui est fait en son nom serait régi par l’approche de la « politique fondée sur les preuves ». (Lire la suite … )
Depuis la mise en ligne du Blog en janvier 2019, voici donc le 100ᵉ billet. 100ᵉ et demi, pour être précis.
Temps de marquer une petite pause pour une relecture de « Malaise dans la culture » (ou dans la « civilisation », comme l’aura faussement traduit une certaine tradition) ; l’un des textes les plus sombres, les plus étonnants, mais aussi des plus personnels et des plus politiques de Freud.
Quelques réflexions donc sur la vie, la mort, l’amour, la destruction, la souffrance et quelques autres questions actuelles et inactuelles. (Lire la suite … )
Le virus a‑t-il une odeur ? Bien sûr que non, répondra le bien-pensant. Et pourtant, lit-on, il existerait des chiens qui renifleraient les malades du Covid mieux que tout test chimique.
L’odeur du virus, c’est donc l’odeur du malade et l’effluve de la mort. Par le biais des innombrables discussions et débats sur les modes de contagion et les répartitions d’aérosols, par le biais des mesures de distanciation et de l’obligation du port de masque, c’est tout l’imaginaire de la peste, du choléra et des pires épidémies de l’histoire du monde qui est réactivé par la propagande politique et médiatique.
Il semble opportun, dès lors, de revisiter notre pandémie sous l’angle de l’odeur de la maladie et de l’air pestilentiel dans notre imaginaire social. (Lire la suite … )
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