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Cent et demi : un bilan

Depuis la mise en ligne du Blog en jan­vier 2019, voi­ci donc le 100ᵉ billet. 100ᵉ et demi, pour être précis. 

Temps de mar­quer une petite pause pour une relec­ture de « Malaise dans la culture » (ou dans la « civi­li­sa­tion », comme l’au­ra faus­se­ment tra­duit une cer­taine tra­di­tion) ; l’un des textes les plus sombres, les plus éton­nants, mais aus­si des plus per­son­nels et des plus poli­tiques de Freud. 

Quelques réflexions donc sur la vie, la mort, l’a­mour, la des­truc­tion, la souf­france et quelques autres ques­tions actuelles et inac­tuelles.  (Lire la suite … )

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L’odeur du virus

Le virus a‑t-il une odeur ? Bien sûr que non, répon­dra le bien-pen­sant. Et pour­tant, lit-on, il exis­te­rait des chiens qui reni­fle­raient les malades du Covid mieux que tout test chimique.

L’o­deur du virus, c’est donc l’o­deur du malade et l’ef­fluve de la mort. Par le biais des innom­brables dis­cus­sions et débats sur les modes de conta­gion et les répar­ti­tions d’aé­ro­sols, par le biais des mesures de dis­tan­cia­tion et de l’o­bli­ga­tion du port de masque, c’est tout l’i­ma­gi­naire de la peste, du cho­lé­ra et des pires épi­dé­mies de l’his­toire du monde qui est réac­ti­vé par la pro­pa­gande poli­tique et médiatique.

Il semble oppor­tun, dès lors, de revi­si­ter notre pan­dé­mie sous l’angle de l’o­deur de la mala­die et de l’air pes­ti­len­tiel dans notre ima­gi­naire social.  (Lire la suite … )