“La recherche n’a pas pu à ce jour identifier de variantes génétiques ayant indubitablement pour effet de créer des différences cognitives ou comportementales.” (Le Monde, 25 mars 2018)
Le Monde publie un tribune intéressante de 19 chercheurs en neurosciences, en sociologie des sciences et en philosophie de la biologie, dont le sérieux n’est à pas remettre en question prenant officiellement position contre un nouveau tournant “scientiste” rappelant, bien que sur le mode du paternalisme bienveillant, les intrications politiques les plus effrayantes de l’ancienne “hygiène raciale”.
Les chercheurs contestent qu’il existe un « socle génétique important et quantifié, à l’origine de différences psychologiques entre les êtres humains, en particulier selon la classe sociale, les origines ou le sexe ».
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